Les chroniques de Saphia Wesphael font aujourd’hui l’objet et le bonheur de la publication d’un recueil réunissant ses 26 premières chroniques.  Publié le 1er juin aux éditions NowFuture, ce livre a été préfacé par Jacques Mercier et postfacé par le précieux ami de l’Auteure, « le talentueux chanteur ÂA ». Pourquoi donc fallait-il graver le recueil « L’ENCRE DE NOUS-MEMES » ?

En prenant la plume pour sa chronique « Droit de citer », Saphia Wesphael (sa façon créative) annonçait déjà de quelle ferveur seraient enduites ses mots. On voit bien, tout au long de son œuvre radiotélévisée, ainsi que leur envol, combien ces mots sont accrocheurs. Elle n’a cessé encore de rêver et de faire rêver. La Chroniqueuse du rêve du « vivre-ensemble sociétal » inaugurait son voyage de chroniqueuse par l’idée du grand voyage pour la justice et un monde épris d’humanité.

 SAPHIA WESPHAEL ET SA FACON CREATIVE DEPUIS LA PREMIERE CHRONIQUE

 Pas étonnant que «depuis, Saphia Wesphael cherche à « poétiser la réalité ». Elle s’interroge sur ce qui fait l’essence de nos humanités : nos émotions, nos sensibilités, nos convictions. »

« Elle s’emploie à figurer des sentiments universels que chacun ressent pourtant de manière intime et personnelle. De cette façon, elle souhaite créer des ponts permettant une rencontre entre nos singularités. Elle en est convaincue : il y a de la ressemblance dans nos différences. »

« L’auteure prend toujours comme point de départ une citation, à partir de laquelle elle développe une réflexion, souvent exemplifiée à l’aide d’éléments de l’actualité. »

Ainsi peut-on lire sur la page de Now Future Editions qui scellent aujourd’hui « le vent-en-poupe » des 26 premières chroniques Saphia Wesphael, en publiant son recueil: « L’ENCRE DE NOUS-MEMES ».

INTERET DES CHRONIQUES POUR LE PUBLIC

De toute évidence, ce livre est certainement ce qu’elle espère voir intéresser les gens. En plus de l’impact de « Droit de citer », l’auteure se dit : « j’espère que ça va intéresser ».

Ce recueil des 26 chroniques « déclamées sur la chaîne belge francophone LN24, mais jusqu’alors inédites dans leur version écrite»

Alors, Jacques Mercier décrit, justement, L’ENCRE DE NOUS-MEMES. CHRONIQUES, dans la préface de ce livre. Il invite, parfaitement, les gens sinon les stimule lire ce livre, et à écouter être déclamées lesdites chroniques. A ce propos, je dirais …au rythme et dans la symbiose de cœurs. Tant de splendeur et de bonheur procurent ces chansons écrites de « la musique de l’âme » que propose l’auteure.

Alors, pourquoi, bien sûr, fallait-il graver les chroniques dans un livre? Si les auditeurs et téléspectateurs de la LN24 sont touchés, pourquoi ne pas leur servir un plat de proximité. Le monde a sans cesse soif de justice et de paix (tous azimuts), etc. Bref, assurément, la nature de pensée, le style de communication et le mode de diffusion en sont d’un grand rôle. Le tout crée la nécessité de lire de plus près.

LA QUALITE DE LA PENSEE, L’ECRITURE, LA DIFFUSION SUR LA CHOSE MANQUANTE

 Dans sa préface, Jacques Mercier relève que «Saphia Wesphael réunit la qualité de la pensée, celle de l’écriture et celle de la diffusion. Sa pensée philosophique réconcilie la recherche de la sagesse». C’«était l’idée ancienne, et la réflexion sur des sujets de société, qui en est le sens actuel ».  

Elle a bien vu et touché à la chose manquante dans notre monde. En réalité, celui-ci a soif d’un peu plus d’humanité. Et ces thématiques sont surtout développées pour exhorter les gens à plus de vertus manquantes: l’amour, l’espoir et l’humanisme.

Parce que le monde, l’humanité actuelle a du mal à trouver quelque chose pour étancher la soif d’un vrai amour, redonner de l’espoir, et restaurer l’humanisme. L’humanité est donc malade de ses hommes et femmes. Ils ont encore besoin d’interpellations – et c’est bien souvent que fait Saphia Wesphael.

POURQUOI LE PUBLIC AIME, ADMIRE, ADULE LES CHRONIQUES DE SAPHIA WESPHAEL?

Ce n’est donc pas du fanatisme que de voir les gens aimer, admirer et aduler ce qu’elle fait et écrit. A vrai dire, c’est parce que les gens vivent un grand vide inouï, un manque ou un plein des faux-semblants d’amour. En tout cases cœurs épris de justice et d’humanité à travers le monde.

l’Auteure relaye Félix Leclerc: «quand les hommes vivront d’amour, il n’y aura plus de misère». La citation poursuit en disant qu’ils «commenceront les beaux jours, mais nous, nous serons morts, mon frère».

En fait, la conquête de la justice consiste est ce grand voyage à effectuer. Or Saphia Wesphael pointait déjà dans sa première chronique, «  le vivre ensemble ». Résolument, cette notion nécessite des élans de cœur d’amour, d’espoir et d’humanisme. Pour cette cause, elle « ne signifie pas dissimuler une indifférence visiblement coupable». Sans leurre, le “vivre-ensemble” ne se réjouirait non plus de rien. Notamment de « l’abandon de toute partie de la population », ni de « celle que l’on juge de trop, ou « pas trop comme nous » .

CE QUE LE PUBLIC AIME DE LA FAÇON CREATIVE DE LA CHRONIQUEUSE

A vrai dire, si les mots, que savent déclamer le talent et l’élan de cœur de l’Auteure, n’avaient pas, dès le départ, convaincu et provoqué de l’euphorie chez les téléspectateurs de « Droit de citer »,  Saphia Wesphael n’aurait pas eu autant d’impact et d’influence créatrices dans les cœurs de celles et ceux qui la suivent.

Voici comment la chroniqueuse Saphia Wesphael a bouleversée et continue de bouleverser les auditeurs et téléspectateurs de LN24, dès sa toute première sortie.

Jacques Mercier  affirme au début du livre : « la qualité de la prestation tient à un ensemble difficile et délicat à réunir: le charme de la personne et celui de la voix, mais aussi le talent de la transmission. Comment ne pas remarquer ce contact permanent que Saphia établit par les yeux avec les personnes présentes en studio ? J’entends encore la réaction sidérée et spontanée de Philippe Geluck qui eut la  chance d’assister en direct à la toute première séquence: «Je suis bouleversé!»

LE GRAND REVE DES CHRONIQUES DE SAPHIA WESPHAEL : « LE VIVRE ENSEMBLE »

Les chroniques de Saphia Wesphael, L’ENCRE DE NOUS-MEMES. CHRONIQUES révèlent une chose. Cette chose en elle, c’est l’expression d’un grand rêve, d’ailleurs très caractéristique. Il s’agit du grand rêve : rêver sans trêve du «vivre ensemble», ne se nourrir que de ce rêve, car tant qu’on a soif d’une chose indispensable, il faut l’accomplir. Tant qu’on a soif de l’eau, il faut la boire, sinon on mourra de soif, de déshydratation.

Ainsi devait être la soif du « vivre ensemble », une notion galvaudée aujourd’hui par la société des égos et la crise d’humanidont les égoïsmes ne savent comment se surmonter afin qu’au lieu d’être patents, ils s’acceptent plutôt sur la base de la justice, de la rationalité de celle-ci et du vrai sens même de ce qui est humain, différent de ce qui relève de l’animosité voire de la bestialité. La pensée de Saphia Wesphael, en filigrane de ces chroniques, c’est ce voyage de la liberté et de l’humanité. Pour elle, je crois, le vivre ensemble, oblige à « rêver sans manger les rêves des autres »

L’INHUMANITE SEVISSANT DANS LE MONDE, LA CRISE D’HUMANISME

Les chroniques de Saphia Wesphael rappellent, en effet, que « c’est en voyageant dans les yeux de l’autre qu’on découvre le monde». C’est-à-dire, il faut “s’énivrer du rêve du vivre ensemble”. Alors l’on pourrait être capable à réaliser que les autres font partie du tout humanité. Il s’agit singulièrement de connaître et comprendre les souffrances de l’autre. Pour cela, il suffit de considérer du regard la façon dont il vit. On peut découvrir, réellement, que derrière un regard se cachent bien tant d’incertitudes et de problèmes qui appellent à l’assistance. 

Mais, bien évidemment, les injustices se commettent, dans l’indifférence totale, autour de la planète. Ceux-là mêmes qui étaient censés intervenir pour stopper les horreurs, en entretiennent les crises. Dans ces conditions, subvenir aux besoins globaux et particuliers des autres n’est devenu qu’un vœu pieux. L’élan d’humanité n’a fait que s’effriter, détériorant ainsi l’élan de partage et d’humanisme. Pourtant, tous les humains se valent et devraient jouir des mêmes droits fondamentaux (déclaration des droits de l’homme du 10 décembre 1948). De ce point de vue, le voyage sur terre, devient un enfer pour les plus faibles de la société, loin du sens du bien commun.

LA CHALEUR DES SENTIMENTS ET L’ATTENTE D’UN RETOUR DE LA PART DE SA COMMUNAUTE

Telle une mère accoucheuse d’un bébé, ainsi pourrait-on épingler les sentiments partagés dans le livre de Saphia Wesphael. A l’instar du chanteur ÄA, je crois de même que « notre amie » Saphia Wesphael peut se rassurer. Car « l’expression de l’espace-temps sur la feuille froissée du livre de » sa « vie » vient d’être gravée. Celle-ci aura, à coût sûr, bon vent, et encore bon vent. L’amie de ses amis, proches, visibles ou lointains, peut – je crois – se rassurer, de ce que les textes beaux, riches et aimables suscitent de l’attraction. Dans tous les cas, le travail de marketing ajouterait à une meilleure percée de son ouvrage. C’est la loi de l’édition et la publication de toute œuvre, soit littéraire soit scientifique. Mais l’expression de sa vie créative galvanisera celle de ses pages. Celles-ci continueront à être gravée dans l’esprit des lecteurs.

« J’espère que ça intéressera », dit l’Auteure, pour voir les chroniques voler jusqu’à tous, comme elle le souhaite.

Pour Eclairmonde, « la plume prend des ailes au soleil des encres et les encres au soleil du livre », dixit Matojmaurice.

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