L’écoroute s’entend être une voie qui offre des conditions adéquates de circulation des véhicules pour être particulièrement sécuritaire. Parler d’écoroute signifie simplement qu’il s’agit de tenir compte de l’environnement physique routier. Or justement, à quel moment une route est-elle considérée comme écologique pour l’exercice de l’écovoyage automobile?

Qu’il s’agisse d’une voie carrossable ou d’une route asphaltée, l’environnement routier est un facteur important pour la sécurité des automobiles et des voyageurs à bord. Il intervient également pour garantir une conduite responsable des véhicules.

Avant de savoir ce qui détermine qu’une route est écologique, rappelons d’abord quelques fondamentaux, tels que la situation de la route.

L‘écoroute ou l’environnement routier écologique

L’environnement routier est constitué en général de plusieurs choses telles que le type de route d’où son état physique, l’ensemble de la signalisation et des marquages au sol. Mais on peut y ajouter les facteurs tels que le climat et l’insécurité susceptible d’avenir à certains moments comme des phénomènes de société.

Les voyageurs ordinaires ou les touristes qui veulent à emprunter une voie automobile doivent d’abord s’assurer de toutes les informations requises. Ils devraient savoir si la route offre un état physique satisfaisant pour être pratiquée. Ils doivent aussi tenir compte de l’état des véhicules à utiliser.

Or, malheureusement, les voyageurs sont obligés parfois de passer plusieurs jours des routes défectueuses. Ce genre de voyages ne peuvent pas être désignés appropriés pour être écologiques. Dans de nombreuses pays et régions du monde, une route dégradée ne peut offrir de garantie pour de voyages sécuritaires. Des routes désastreuses peuvent provoquer des accidents, des enlisements des dégâts matériels sur les automobiles et prolonger les délais de voyages, par exemple.

Une route écologique suppose qu’elle présente des conditions physiques de circulation qui rassurent les voyageurs pour bien arriver à destination. Il va de soi qu’un voyage ne peut bien se dérouler lorsque les routes sont médiocres. Pareillement, si les véhicules et la conduite ne sont pas adaptés aux types de route et à la qualité des systèmes de signalisation.

La signalisation et les marquages au sol

Dans nombreux pays où l’environnement routier est bien développé, les routes offrent une bonne signalisation, avec des marquages au sol bien mis en évidence. La signalisation et les marquages au sol optimisent l’orientation de la conduite ainsi que le contrôle de la circulation pour la sécurité des déplacements.

Cependant, dans les pays où l’environnement routier n’est pas développé, la signalisation routière peu évidente ne peut bien orienter la circulation des véhicules. Cette situation est à l’origine de beaucoup d’accident, ajoutée à cette d’une conduite peu sécuritaire et responsable. Dans certains cas, le maillage en réseaux routiers n’existe pas du tout, favorisant ainsi le phénomène d’engorgement ou d’embouteillage dans les agglomérations urbaines. Le développement d’un système performant de signalisation, renforcée par les marquages au sol sur les routes, sont de nature à déterminer une écoroute.

Par ailleurs, à certains égards, les facteurs climatiques peuvent perturber les voyages de route; toutefois, ces facteurs peuvent paraitre aléatoires ou éventuels.

Ainsi, pour remplir les conditions d’une écoroute, l’état de la route et l’environnement routier ne suffisent pas pour assurer à la fois aux conducteurs la sécurité de leurs véhicules et de leurs passagers. Un autre facteur est très important pour déterminer le caractère d’une route écologique. Il s’agit d’un facteur existent particulièrement dans certains pays ou régions du monde marqués par des phénomènes sociaux d’insécurité routière.

Les phénomènes de société qui ne garantissent pas le caractère d’une écoroute

Les phénomènes de société qui ne garantissent pas le caractère d’une écoroute sont divers et variés.

Tout d’abord, il y a le manque de connaissance et l’ignorance des principes écologiques par les voyageurs. Les gens ne savent pas comment voyager de façon plus respectueuse de l’environnement. Et ils ne réalisent pas toujours les conséquences négatives imprévisibles que leur mode de voyage terrestre peut avoir sur certaines routes dangereuses. Car ces routes sont éventuellement minées par les phénomènes récurrents des coupeurs de routes qui peuvent les rançonner aux risques de leur vie.

Il est donc important d’informer la population, mais aussi de s’informer sur la route. Seule l’information sur ces sujets de grand banditisme qu’est le terrorisme permet de prendre conscience des enjeux liés au mode de transport routier.

De plus, certains modes de transport comme les véhicules à moteur ou les avions sont très polluants. Ceux-ci dégagent beaucoup d’oxyde carbone qui contribuent à l’effet de serre et à la destruction progressive du climat terrestre. De ce fait, même si un certain nombre d’individus optent pour une écoroute, cela ne suffit pas forcément à compenser tous les effets nocifs causés par ce type spécifique de transports motorisés.

Enfin, le coût financier des options « vertes » telles que le train ou le bus reste encore trop élevé pour beaucoup de gens afin qu’ils puissent choisir volontairement l’écovoyage, cette option alternative aux vieilles habitudes (voiture personnelle).

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