Le voyage des oiseaux migrateurs font partie d’une devenue courante dans le monde depuis la nuit des temps. Il a permis de comprendre le rôle joué par la faune sauvage dans l’écologie des virus. Il marque un signe de la vitalité dans l’interrelation de la biodiversité sur la planète. Si ce genre de voyage a toujours eu des implications bénéfiques d’un côté, de l’autre il peut devenir destructifs pour l’humanité. Dès lors, la manipulation des oiseaux migrateurs à des fins destructives remet en questions aussi bien la morale, la justice que la sauvegarde de l’humanité. Cet article souligne comment l’intelligence humaine détourne le voyage des oiseaux migrateurs manipulés à des fins sordides à travers le monde.

L’utilisation des armes biologiques dans le voyage des oiseaux migrateurs

Tant que l’intelligence humaine n’interfère pas dans ces voyages naturels, ces voyages ne représentent aucun danger. Mais actuellement, les humains utilisent la migration des oiseaux pour chercher à nuire des populations ou vaincre des camps ennemis. Dans certains conflits, on assigne aux oiseaux le transport d’agents pathogènes nocifs pour la santé de l’humanité. Cette attitude frise à la fois la compromission des chances de survie des populations humaines, et la destruction de l’ensemble de l’écosystème. Cette problématique met en ligne de mire le développement d’armes biologiques à des fins redoutables par certaines puissances. A ce titre, nous vous présentons en passant quelques liens à visiter ici pour s’en rendre à l’évidence.

L’utilisation des animaux comme relais d’autrefois dans la communication

En rappel, l’usage des animaux migratoires n’est pas nouveaux dans l’histoire des relations et de la correspondance épistolaire entre les peuples. Par exemple, on lâchait un pigeon muni d’un message pour communiquer d’un territoire (royaume ou empire) à un autre. De même, le voyage d’une colombe lâchée des humaines mains portait un grand symbole. La colombe lâchée au-dessus des eaux revint avec un signe dans son bec. Aussi, la colombe s’utilisait comme symbole de concorde et de paix en raison de sa blancheur et sa pureté.

Dans la Bible, c’est par le moyen Noé se rendit compte que les eaux du déluge avaient baissé. On parle aussi du bouc émissaire. dans la Bible, un animal (le bouc), chargé des fardeaux (spirituels) devait emporter sur lui le sang d’une victime expiatoire innocente pour le pécheur. L’animal relâché s’en allait loin dans le désert. En le laissant aller errer dans les terres arides, il emportait ainsi les péchés d’un enfant d’Israël. Le bouc chargé de la condamnation à la place du pécheur allait se perdre dans les oubliettes du désert. Et pourtant, la condamnation revenait continuellement dans la conscience du pécheur. La raison fut toute simple : l’oubli simulé et le pardon par le sang d’une bête innocente ne purent point suffire.

L’actualité des armes chimiques dans le voyage des oiseaux migratoires

Charger aujourd’hui les oiseaux migrateurs des mauvais sorts est devenus d’actualité. Plus que jamais, l’utilisation des armes bactériologiques constitue aujourd’hui un moyen de destruction massive de l’ennemi. Selon le site Sinotables, « une réunion bruyante » documentée a eu lieu le 5 avr. 2022 au Conseil de sécurité de l’ONU sur cette question. Il s’agit précisément de l’usage des oiseaux migrateurs dans le développement du conflit en Ukraine. Des technologies auraient été en cours de développement en Ukraine pour les utiliser contre la Russie. D’où la mise en cause documentée par la Russie de l’utilisation contre elle des porteurs bactériologiques comme les oiseaux migrateurs de « destruction massive ».

L’identification des oiseaux de destruction massive.

En l’occurrence, dans le cadre de sa campagne militaire en Ukraine, la Russie aurait découvert des pratiques bactériologiques dangereuses dans des laboratoires biologiques en Ukraine.

A cet effet, des spécialistes de l’environnement et les zoologistes ont étudié la migration de certains oiseaux. Ils ont identifié le chemin qu’empruntent ces oiseaux dans chaque saison annuelle. Et lors de leur périple saisonnier, plusieurs oiseaux voyagent de pays en pays voire de continent en continent.

Les technologies d’armement lors du voyage des oiseaux migrateurs

Le renseignement contribue à révéler que les spécialistes capturent les oiseaux migrateurs pour les numériser. Ensuite, ils accrochent des capsules contenant des germes bactériologiques sur les oiseaux à relâcher. A l’aide d’une puce, ils arrivent à contrôler numériquement leurs itinéraires vers les pays à attaquer. Ces technologies permettre d’identifier aujourd’hui avec précision ces itinéraires d’oiseaux voyageant sur de grandes distances. Ainsi, par exemple, depuis la mer Baltique et la mer Caspienne, on peut suivre des oiseaux vers le continent africain et l’Asie du Sud-Est. On peut également identifier leurs mouvements à partir du Canada vers l’Amérique latine selon les saisons. Des satellites aident les laboratoires pour détruire les oiseaux migrateurs chargés de germes bactériologiques dès qu’ils atteignent le ciel des pays visés. En tombant, ces oiseaux armés de germes vont propager des maladies pour décimer leurs victimes. L’adversaire insoupçonné aura ainsi atteint ses desseins inavoués sans trop de peines.

La manipulation des oiseaux migrateurs a des fins de destruction massive bannie par le droit international

Le dénombrement des oiseaux migrateurs utilisés comme arme de destruction massive agit contre le droit international. Un tel acte révèle l’immoralité et l’inhumanité. Le droit international condamne ce genre de pratiques.

Le problème de la manipulation des oiseaux migrateurs interpelle aujourd’hui dans l’origine de certaines maladies comme Ebola en Afrique, la grippe porcine et aviaire, ou la Covid 19.  Certains pays comme la Chine exigent des enquêtes sérieuses pour comprendre finalement l’émergence soudaine du Corona virus sur son territoire.

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